Après avoir acheté quelques-unes de nos belles entreprises, un certain nombre de nos plus grands hôtels, le Paris-Saint Germain et investi dans nos banlieues « difficiles », nos « amis Qataris » viennent d’acheter le grand magasin du Printemps, symbole même de nos célèbres enseignes des Grands boulevards parisiens.
Certains diront que cette nouvelle acquisition prouve que l’attractivité de la France pour ces nouveaux riches du Golfe est toujours intacte.
D’autres penseront (sans le dire) que ça commence à faire beaucoup en s’étonnant que les pouvoirs publics laissent ces capitaux qui financent aussi de par le monde l’islamisme le plus radical (notamment au Mali où nous lui faisons la guerre et en Syrie où nous lui apportons notre aide !) envahir la France.
Dans un pays qui compte déjà, « grâce » à l’immigration, 6 à 7 millions de musulmans, accepter que ce petit émirat qui soutient, à coups de millions de pétrodollars, le djihad planétaire contre l’Occident, poursuive une espèce de colonisation rampante relève, évidemment, de la totale inconscience.
On sait qu’Arnaud Montebourg, notre ineffable ministre du Redressement productif, vient d’annoncer que, pour faire face à sa déconfiture, l’Etat allait vendre plusieurs de ses participations dans certaines grandes entreprises. Les spécialistes évoquent EDF, Areva, Aéroport de Paris, Francetélécom, Air France, GDF-Suez, Renault.
On imagine volontiers que « nos amis » Qataris vont se faire à la fois un plaisir et un devoir de se porter acquéreurs de ce que les experts appelaient autrefois nos « bijoux de famille ».
Mais quiconque oserait soulever ce problème serait immédiatement condamné, pour islamophobie, à quelques centaines de coups de fouet sur la place publique.

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